Affinités et divergences : France, Italie et Flandres (5/5)
À la fin du 16e siècle et pendant la première moitié du 17e siècle, les architectures fictives profitèrent pleinement des modèles hérités de la Renaissance ainsi que de la prolifération du traité et de la gravure. Les choix au sein de cet ample éventail révèlent des affinités artistiques et culturelles, souvent liées à des besoins de légitimation. Bien qu’une continuité se dégage sur le plan typologique, de nouveaux principes esthétiques changent leur apparence.